Chères citoyennes, chers citoyens

Le plan interministériel de lutte contre le harcèlement scolaire présenté par la Première ministre, madame Élisabeth Borne, est une avancée importante dans notre travail pour combattre ce fléau. Replacer la parole de l'enfant au centre de notre engagement est une nécessité et bien que le chemin soit encore long, nous avançons. 

Je suis heureux de constater que la loi du 2 mars 2022 que j'ai écrite et portée, pose aujourd'hui les bases juridiques de ce plan qui permet d'acter officiellement la prise en compte de l'ampleur de ce phénomène par la société. Nos enfants méritent d'être mieux protégés si nous voulons qu'ils gardent confiance en eux, en leurs camarades, en l'institution scolaire et en notre société.    

En parallèle de ce moment fort, nous poursuivons notre travail avec le projet de loi visant à sécuriser et réguler l'espace numérique. La lutte contre le cyber-harcèlement y tient une place importante ainsi que la protection des mineurs en ligne. Nous avons achevé notre travail en commission spéciale : maintenant place aux débats en séance publique.    

Sur le terrain, ce sont de nombreuses rencontres qui ont caractérisé mon action : les forums des associations fûrent une nouvelle fois des belles éditions prouvant le fort engagement associatif de la part des citoyens du territoire. Cela s'est également illustré par l'inauguration de la salle Le Scave à Rédéné, un nouveau lieu pour accueillir les pratiques sportives et scolaires.    

Enfin, j'ai souhaité rencontrer les locataires d'une résidence de seniors à Pont-Aven, qui ont eu la malheureuse surprise d'apprendre qu'ils devaient quitter les lieux sous trois semaines. Une situation indigne et humainement inacceptable, et j’ai souhaité avec le maire et les services préfectoraux, accompagner les familles dans ce douloureux moment.